Le nom d’aînée de Marsha est Teyuhuhtakweku. Elle est de la Nation Oneida et membre du Clan de la Tortue. Elle est sourde, épouse, mère, grand-mère et arrière-grand-mère. Son mari, Max Ireland, est entendant et membre du Clan de l’Ours. Elle a cinq enfants Oneida et quatorze petits-enfants, dont une arrière-petite-fille. Elle a développé le langage des signes Oneida. Elle a voyagé pour offrir la reconnaissance du territoire dans sa langue. Elle se considère comme une avocate, une éducatrice et certaines personnes la considèrent comme leur aînée.

Sean Lee est un artiste et commissaire explorant l’affirmation de l’art du handicap comme la dernière avant-garde. Sa méthodologie explore les pratiques de commissaire crip comme moyen de résister aux idéalités esthétiques traditionnelles. En s’orientant vers un « horizon crip », la pratique de Sean explore les possibilités transformatrices de l’accessibilité en tant que politique incarnée et la construction d’une communauté de personnes avec handicaps comme un moyen de désirer les façons dont le handicap peut perturber.

Sean est titulaire d’un B.A. en gestion des arts et studio de l’Université de Toronto, Scarborough, et est actuellement directeur de la programmation pour Tangled Art + Disability. Avant ce rôle, il fut le premier commissaire en résidence à Tangled (2016). Sean a fait partie intégrante d’innombrables expositions et engagements publics tout au long de son mandat chez Tangled Art + Disability.

En plus de son rôle chez Tangled, Sean est un conférencier indépendant et écrivain qui ajoute ses idées et ses perspectives aux conversations entourant les arts du handicap au Canada, aux États-Unis et à l’étranger. Il a enseigné « Accessibility in Curating: A Framework » à NODE Curatorial Studies Online et Hidden Project au Goethe-Institut Shanghai. Sean siège actuellement au conseil d’administration du Conseil des arts de Toronto et de CARFAC Ontario, et est membre du groupe consultatif sur les personnes sourdes et avec handicaps du Conseil des arts de l’Ontario, et président du comité des arts visuels et des arts médiatiques du Conseil des arts de Toronto.

Juan Jaramillo a auparavant travaillé avec l’Ontario Advocate’s Office for Children & Youth, offrant des consultations au sein des écoles provinciales pour les personnes sourdes et les aveugles/malentendant.e.s pendant 9 ans. Sa famille était composée de réfugiés colombiens avant qu’il ne déménage au Canada à un très jeune âge. Il est né sourd mais cela ne l’a pas empêché d’aimer la musique forte. Il a grandi entouré de la culture musicale latine et salsa colombienne. Il a cofondé Dancing Hands, un groupe qui se produit depuis plus de 22 ans à travers l’Amérique du Nord. Il porte plusieurs chapeaux, dont interprète et performeur ASL, réalisateur de courts métrages, acteur et scénariste.

Il est également consultant dans ces rôles pour offrir un meilleur accès à l’ASL. La polyvalence et l’expression artistique de Juan l’ont amené à partager la scène avec de nombreux artistes et il aime présenter un grand spectacle accessible et inclusif pour tous les artistes et publics.

Matthew Monias, alias Mattmac, est un producteur de musique et un musicien aveugle membre de la Première Nation de Garden Hill, au Manitoba, qui présente des rythmes pop-trap mélodiques et son histoire inspirante. Il s’est imposé rapidement comme « un artiste à surveiller » sur la scène nationale avec plus de 700 000 + téléchargements audios à travers toutes les plateformes et il a été acclamé par la critique sur CBC, CTV, Virgin Radio, etc. Il a grandi entouré de musique grâce à la radio et en chantant dans la chorale gospel de sa communauté. Matthew a commencé à lutter contre la dépression à un jeune âge et la musique l’a grandement aidé. Artiste entièrement autodidacte, il a commencé à faire des beats et à écrire des chansons à l’âge de 13 ans, puis a appris par lui-même à jouer du piano et de la guitare. Il possède également des compétences impressionnantes avec les logiciels et équipements de production de rythmes, et attribue ses compétences créatives grâce au soutien du groupe Blind & Famous, un collectif américain d’artistes musicaux aveugles qui collaborent et se connectent les uns aux autres via Internet. Il fait actuellement la promotion de son deuxième album intitulé “Blurred Visions” – disponible dès maintenant !

Shayla-Rae Tanner est une Crie de 24 ans de la Première Nation Cowessess et malentendante. Elle utilise le langage des signes américain pour communiquer et elle est très fière de qui elle est. Elle a obtenu son diplôme de 12e année au Thom Collegiate et elle est en deuxième année d’université à l’Université des Premières Nations du Canada. Elle a été initiée au théâtre et a fait partie des pièces de théâtre Deaf Crow & Apple Time. Elle est impliquée dans le Deaf Crow Collective depuis juin 2016. Elle aime dessiner et elle aime socialiser avec ses amis sourd.e.s/malentendant.e.s. Elle aime lire, regarder des pow-wow et passer du temps avec sa famille. Sa famille est entendante et elle utilise l’ASL complet.

George, AKA DJ GQ, ou down sur les réseaux sociaux en tant que GQSoundz est un DJ aveugle Afro-Canadien qui aime l’art de mixer. GQ est un DJ versatile avec une large influence Hip Hop, RnB, Reggae, Dancehall, soca et Afrobeats. Même en étant aveugle, le but de GQ est de continuer d’enflammer les pistes de danse.

Danielle Printup est une travailleuse culturelle et commissaire Hodinohso:ni / Anishnaabe de Kitigan Zibi Anishnabeg, QC, avec des racines maternelles à Ohsweken, ON. Elle est titulaire d’un baccalauréat spécialisé en histoire de l’art de l’Université de Guelph (2012) et a ensuite effectué un stage au Musée des beaux-arts du Canada avant de terminer le programme de formation autochtone RBC en pratiques muséales au Musée canadien de l’histoire. Elle a travaillé à la Galerie SAW Gallery, au Centre d’art autochtone et au Programme d’art public de la Ville d’Ottawa. Elle travaille actuellement comme coordonnatrice de l’engagement culturel autochtone à la Carleton University Art Gallery. Plus récemment, Printup a organisé l’exposition collective Future Rivers: Film and Video from the Desert River, qui a été présentée au cours de l’été 2021 à la Carleton University Art Gallery.

Jessica Kotierk est gestionnaire culturelle/commissaire au Musée Nunatta Sunakkutaangit à Iqaluit, Canada. Elle se concentre sur le soin des artefacts Inuits dans les collections des musées. Jessica soutient la promotion et la préservation de l’art et des archives Inuits. Elle est membre du Conseil d’administration du Conseil des archives du Nunavut, du Festival des arts Alianait, du Cercle du Patrimoine Autochtone, de la Société du film et du développement du Nunavut, et participe également au groupe de leadership de l’Inuit Futures in Arts Leadership :Pilimmaksarniq/Pijariuqsarniq SSHRC Partnership Grant, qui travaille à la favorisation d’un plus grand nombre d’Inuits dans les rôles au sein du milieu des arts et de la culture.

Isabelle Uyaralaaq Avingaq Choquette est diplômée du Programme d’études muséales du Collège Montmorency à Laval, QC. Née et élevée à Terrebonne, sa famille maternelle est originaire d’Igloolik, NU et son père est Canadien Français. Isabelle vit actuellement à Montréal où elle travaille dans le département de muséologie de l’Institut culturel Avataq, et prend soin de la Collection d’art Inuit du Nunavik. Isabelle a aidé à organiser l’exposition d’œuvres de la collection d’Avataq au KWE! Rencontrer les peuples autochtones en 2019. Les intérêts d’Isabelle incluent l’art Inuit et ces collections, le rapatriement des collections inuites vers le Nord, et continuer à en apprendre davantage sur les cultures inuites du Nord circumpolaire. Elle espère un jour retourner au Nunavut avec sa famille.

Teresa Vander Meer-Chassé est une fière membre Niisüü de la Première Nation White River (Beaver Creek, Yukon et Alaska). Elle est une artiste visuelle, commissaire émergente et étudiante à la maîtrise en beaux-arts à l’Université Concordia en Studio Arts d’origine Upper Tanana, Frisian et Acadienne française. Sa pratique en arts visuels s’investit dans l’éveil de matériaux endormis et la (ré)animation d’objets trouvés qui parlent de son identité. Sa pratique de commissaire vise à combler les lacunes et à écrire de nouveaux récits qui mettent en évidence l’importance de la représentation et de la visibilité des communautés autochtones du Nord. Elle a été commissaire des expositions We Are Our Language (2019), Emerging North (2020), co-commissaire de Elemental Transformations (2021) et TETHER (2022). Teresa siège actuellement au conseil d’administration de l’Indigenous Curatorial Collective/Collectif des commissaires autochtones.

Shirley Adamson est membre de la Nation Tagish et citoyenne des Tàän Kwáchän. Ancienne négociatrice et politicienne, elle crée maintenant de l’art sous le nom de Zhürá. Elle est conteuse, enseigne la langue tagish et est elle conférencière. Shirley honore l’histoire de ses ancêtres à travers le récit d’histoires traditionnelles, la revitalisation du langage, des peintures, des créations de tissus et des sculptures de forme libre. Le travail de Shirley a été exposé dans plusieurs galeries, fait partie de nombreuses collections privées ainsi que de la Collection permanente d’art du Yukon et du Centre culturel Kwanlin Dun.

Lisa Dewhurst est originaire du sud de la Colombie-Britannique et est membre de la Nation Nlaka’pamuk de Merritt, C.-B. Ses racines immédiates font partie de la Nation Salish de l’intérieur de la C.-B. et de l’Okanagan, mais elle a également une ascendance liée au Mexique par son arrière-arrière-grand-père, Jesus Garcia. Lisa, la plus jeune de 7 enfants, a grandi dans la campagne d’Aspen Grove où son amour pour les chevaux et le plein air a commencé à un jeune âge. Depuis plus de 30 ans, Lisa vit dans la petite communauté de Teslin, au Yukon. C’est au Yukon que Lisa a rencontré et épousé son mari Darcy, qui est né et a grandi à Teslin. Ensemble, ils ont 2 enfants.

Avec l’éducation traditionnelle Tlingit de Darcy et le sens de l’aventure de Lisa, leurs enfants ont été élevés sur le territoire. Les sorties familiales au terrain de trappage ont commencé dès le plus jeune âge pour les enfants et se poursuivent aujourd’hui, ainsi que d’autres activités traditionnelles telles que la chasse, la pêche et la cueillette de petits fruits. Des événements et des pratiques culturelles telles que les potlatchs et les obligations du clan lient cette famille à d’importantes racines Tlingit. Lisa a été adoptée dans le clan Kukhhittan (Raven Children) et son nom Tlingit est Keis.ey, qui fait référence à “l’heure juste avant l’aube”.

Elle a été une gestionnaire et une dirigeante dévouée pendant plus de 10 ans pour le Teslin Tlingit Heritage Centre et excelle dans les relations publiques et la coordination d’événements et de programmes.

Lisa est devenue intendante et chef de file de l’industrie culturelle et touristique pour sa communauté et le territoire du Yukon. Grâce à la vision, au développement et à la coordination, elle a participé à la création de l’un des principaux centres culturels du Yukon et a contribué à la nouvelle stratégie touristique du Yukon qui a été publiée en novembre 2018.

Melissa Shaginoff fait partie des clans Udzisyu (caribou) et Cui Ui Ticutta (mangeur de poisson) de Nay’dini’aa Na Kayax (Chickaloon Village, Alaska). Elle est une personne Ahtna et Paiute, une artiste, une commissaire et une tante. Son travail est façonné par le cadre et les subtilités des cérémonies et des structures sociales autochtones. Melissa centre la discussion dans sa pratique artistique, cherchant une compréhension plus profonde à travers des moments d’échange et de réciprocité. Elle a effectué des résidences en Suède, en Italie, au Canada et en Alaska. Elle fait présentement une résidence d’un an conçue en collaboration avec The Nave, un bâtiment historique et un espace communautaire à Dgheyey Kaq ‘(Anchorage). Elle a organisé et fait partie de jurys pour des expositions avec le Anchorage Museum, l’Alaska Pacific University, l’University Alaska Anchorage, le Coe Center, l’International Folk Art Museum et la Fairbanks Art Association. Melissa a publié des textes dans le magazine Alaska Humanities FORUM, First American Art Magazine, Inuit Art Quarterly et le Learning Lab du Smithsonian Arctic Studies Center. Elle est membre fondatrice de Łuk’ae Tse’ Taas (soupe de tête de poisson) Comics, un collectif de nouveaux médias axé sur la co-rédaction et la représentation autochtones dans les récits de science-fiction.

Dominique Ireland est membre de la Nation Oneida Nation of the Thames et fait partie du Clan de la Tortue. Elle dédie sa vie aux membres de sa communauté, sa langue et sa culture. Elle a été impliquée avec le Conseil des jeunes AIAI et formée en tant que travailleuse culturelle pour les jeunes au Centre Culturel de sa communauté. Dominique aime faire de la gravure sur bois, l’illustration et apprendre sa langue. 

Xavier Watso est un Abenaki d’Odanak et depuis plus de 15 ans il enseigne avec passion le théâtre à l’école secondaire Louis-Riel à Montréal. Il est aussi un militant autochtone qui se bat pour les droits des Premières Nations. Xavier est membre fondateur d’un groupe de pow-wow drum, les Flying Sturgeons, et il est le Maître de Cérémonie lors des pow-wows d’Odanak et de Wolinak. Il est également TikTokeur vérifié avec 35000 abonné.es, chroniqueur régulier au Journal Métro de Montréal et chroniqueur dans le magazine Currium.

Joseph Sarenhes est un créateur polyvalent. En plus de jouer du piano, de la guitare et de la batterie, il est également chanteur, rappeur, compositeur et vidéaste. Un talent singulier et étonnamment doué. Il cite Michael Jackson, Ray Charles, Tory Lanez et bien d’autres comme ses plus grandes inspirations. L’identité de Joseph a des racines culturelles très fortes. D’origine guinéenne, Autochtone (Nation huronne-wendat) et québécoise, il crée instinctivement un mélange à la fois homogène et rafraîchissant entre tradition et tendance actuelle, innovant. Avec la sortie de son premier single « Sing You Something », Joseph démontre clairement qu’il est un créateur multidisciplinaire prometteur. “Sarenhes” signifie “Le plus haut sommet de la forêt” et est un symbole de leadership fort. Joseph espère que sa musique sera un médium unificateur qui inspire et laisse un impact positif sur les gens. Ce gamin a vraiment quelque chose de spécial parmi des gens spéciaux. – Hourglass 11

Stephanie Pangowish est une Anishinaabekwe de Wiikwemkoong sur l’île Manitoulin qui est drôle, badass, mais élégante. Elle est une membre active de sa communauté, humoriste, danseuse traditionnelle, éducatrice, choriste et une perleuse passionnée.

Stephanie a obtenu son éducation occidentale à l’Université Trent, en études autochtones où elle a à peine réussi. Les étudiant.e.s NDN étudient les NDN. Elle continue d’apprendre de ses enfants, de sa famille et de sa communauté.

Audie Murray est une parente, rêveuse, brodeuse et artiste visuelle Michif basée à Oskana kâ-asastêki (Regina, Saskatchewan; territoire du Traité 4). Une grande partie de sa famille et de sa parenté familiale se situent dans les régions de Qu’Appelle et de Meadow Lake en Saskatchewan, couvrant les territoires des traités 4 et 6. Murray détient un diplôme en arts visuels du Camosun College, 2016; un baccalauréat en beaux-arts de l’Université de Regina, 2017; et une maîtrise en beaux-arts de l’Université de Calgary, 2022. Sa pratique est informée par le processus de fabrication et de visite pour explorer les thèmes de la culture contemporaine, les expériences incarnées et les dualités vécues. Ces modes de travail participent au recentrage de notre rapport collectif au corps, aux systèmes de savoirs ancestraux, à l’espace et au temps. Elle a beaucoup exposé, notamment à l’Independent Art Fair, NYC ; La Galerie d’art de Vancouver; Centre d’art contemporain, Glasgow ; et le musée d’Anchorage. Murray est représenté par la Fazakas Gallery, située sur le territoire de Sḵwx̱wú7mesh, Səl̓ílwətaʔ et xʷməθkʷəy̓əm (Vancouver, Colombie-Britannique).

Jessie Ray Short est une artiste, cinéaste et commissaire indépendante Métis, ukrainienne et allemande. La pratique de Jessie Ray consiste à découvrir des liens entre une myriade de sujets qui l’intéressent, y compris, mais sans s’y limiter, l’espace et le temps, les histoires autochtones et des colons, la culture visuelle Métis, les récits personnels, les systèmes de croyances spirituelles et scientifiques, les univers parallèles, l’électricité, les extraterrestres et être(s) non humain(s). Jessie Ray explore ces sujets en utilisant des médiums tels que le film et la vidéo, l’art de la performance, le tissage au doigt, la couture, l’écriture et le commissariat. Elle a été invitée à exposer son travail à l’échelle nationale et internationale, notamment au Centre d’art Agnes Etherington à Kingston, à La Chambre Blanche à Québec, à Art Mûr Berlin (une exposition satellite de la Biennale d’art autochtone contemporain/BACA) en Allemagne, et au Wairoa Maori Film Festival en Nouvelle-Zélande. Jessie Ray est profondément reconnaissante d’être basée à oskana kâ-asastêki ou Pile of Bones (également connue sous le nom de Regina) sur le territoire du Traité 4. Certaines des lignées familiales Métis de Jessie Ray comprennent Short, Piché, Desmarais et Gosselin.

Janelle “ecoaborijanelle” Pewapsconias
(elle) est une poète nehīyaw, chercheur engagé dans sa communauté et
artiste de la Première Nation de Little Pine, territoire du Traité 6. En tant que mère célibataire forte, Janelle a travaillé et étudié à l’Université de la Saskatchewan en gestion des terres des peuples autochtones et la gestion des ressources renouvelables, ainsi qu’au Saskatchewan Indian Institute of Technologies for Business Administration. Le parcours éducatif a permis à Janelle de boucler la boucle vers la terre et la guérison, renforçant son engagement à parler avec les jeunes et les éduquant sur l’antiracisme, l’équité et la justice sociale. Elle reconnaît que l’éducation culturelle nehiyaw l’a élevée avec la pratique de savoir comment intervenir dans la communauté.

En tant que conceptrice de jeu vidéo, elle a mis à profit son talent unique et sa formation en participant à quatre concours de plan d’affaires et de pitch avec ses projets d’art et de jeux de société autochtones “Neeched Up Games” et “Neechimoose Novelties”. Son talent pour créer des histoires avec de la poésie et des jeux a été inclus dans « A Mile In Our Moccasins », une conférence TEDx donnée à Calgary en 2017.

En tant que poète et conteuse de slam, ecoaborijanelle a participé à trois concours nationaux de slam de poésie et plusieurs de ses poèmes ont été publiés dans des publications universitaires canadiennes et américaines. Elle a participé au Saskatoon Poetic Arts Festival 2019 Ensemble et la résidence 2020 ‘Indigenous Storytellers and Spoken Word’ au Banff Centre for Art and Creativity.

ecoaborijanelle a travaillé sur plusieurs projets à l’échelle de la province, notamment la publication de 2 leçons produites pour les élèves de la 1re à la 8e année avec LIVE Arts Saskatchewan, un camp d’écriture d’une semaine pour adolescent.e.s avec Sage Hill en 2019, 2020 et à nouveau en 2022.

Élargissant sa pratique de la performance en direct, ecoaborijanelle a créé une vignette de créations orales dans The Trespassers Waltz à l’automne 2020. Sa collaboration plus récente «Dandelion Roots» a été présentée à la Nuit Blanche 2021 et a soutenu le développement d’un programme sur le thème de l’anti-gentrification.

ecoaborijanelle est une artiste autochtone multidimensionnelle qui perpétue les coutumes de la narration dans ses créations orales, ses jeux de société et ses projets créatifs anti-oppression. En tant qu’artiste basée dans sa réserve, elle pratique, organise et construit sa pratique de la création parlée qui perpétue la tradition orale et célèbre les récits de la survie et de la force des personnes Autochtones. Elle croit en ahkamemowin (“ahh-gkaa-mey-moo-win” 5 syllabes) – ce qui signifie : avoir de la résilience et ne jamais abandonner. Passionnée et déterminée, Janelle « ecoaborijanelle » Pewapsconias porte le message : « vos mots sont vivants, vos mots comptent, racontons nos histoires avec soin ».